HP vs Blondie Draco

 

 

I- Comme d'hab', chez les Dursley...


Il faisait nuit depuis des heures déjà et pourtant Harry ne parvenait pas à trouver le sommeil, comme souvent la veille de son anniversaire, et comme souvent depuis un mois, depuis qu'il avait la mort de Diggory sur la conscience... depuis ces tragiques évènements survenus au cimetière, il ne s'était pas passé un jour sans que le Survivant ne se repasse la scène interieurement pour essayer de trouver des alternatives... de multiples façons dont il aurait pu sauver son camarade... et à chaque fois qu'il y repensait, ses regrets s'alourdissaient, car chaque chque fois il voyait de nouvelles possibilités s'offrirent à lui... Il aurait pu le sauver... et il aurait dû le sauver... à commencer par cette stupide humilité et cette stupide solidarité gryffondorienne qui l'avait poussé à demander à Cedric de prendre le trophée avec lui. Il s'était aussi surpris avec honte à penser que s'il avait laissé cedric toucher seul au trophée, celui-ci serait mort maisVoldemort ne serait pas revenu... et l'idée qu'il pouvait songr de cette sinistre manière l'emplissait de bien plus de remords encore que sa faillibilité au moment où il aurait dû réagir et comprendre.

Un hululement de chouette rentrant au bercail interrompit son auto-appitoiement et Harry se leva pour aller lui ouvrir. Il devait se l'avouer, c'était l'angoisse de voir le mage noir lui rendre visite qui l'empêchait de laisser librement ses fenêtres auvertes comme il l'avait toujours fait pour Hedwige... Il la laissa entrer puis attendit de voir si les hiboux de ses deux meilleurs amis l'avaient suivi. Il allait refermer quand errol, ainsi qu'un petit hiboux fauve et un autre presque noir arrivèrent au dessus du quartier.

Hedwige lui avait ramené une lettre et un petit coffret contenant deux mirroirs de la part de Sirius ; Harry sentit son coeur s'emballer en lisant que son parrain les lui envoyait maintenant car il n'était pas sûr d'être là lorsqu'il arriverait au Terrier. Cela voulait donc dire que les Weasley voulait encore l'acceuillir... il se précipita sur la lettre de Ron pour avoir condirmation : celui-ci lui disait de l'habituelton exhalté dont été emprunt ses lettres qu'ils attendaient tous qu'il soit à la maison pour lui offrir ses cadeaux, qu'ils passeraient bientôt le chercher, d'ici un ou deux jours sans doute. Harry se mordilla les lèvres ; il allait enfin retrouver un foyer, être entouré de gens qui comprenaient l'origine de son mal-être... pas comme les Dursley qui vivaient dans leur petit monde étriqué persuadé que rien n'avait changé et que le monde des sorciers ne les atteindraient pas s'ils feignaient de l'ignorer. Hermione lui avait envoyé un petit quelque chose, aussi en atendant de le revoir, si ce n'était au Terrier au moins à Poudlard, c'était une plume enregistreuse... pour l'aider dans ses devoirs à construire des plans correctes et ne pas oublier d'éléments auxquels il avait déjà pensé.

Harry s'interressa ensuite au dernier mesager, probablement envoyé par Hagrid. Comme à son habitude, le garde-chasse lui avait envoyé des sortes de gêteaux qu'Harry se passerait bien de manger... il lui avait aussi envoyé une sorte de sifflet en bois. Harry ne savait pas encore pourquoi, mais il savait qu'il lui servirait. Hagrid avait le chic pour lui offrir des choses qui si à première vu smblaient incongrues finissaient quand même toujours pas révéler une grande utilité, il fallait juste l'avoir sous la main au moment propice.

Harry se sentait un peu mieux... même si le fait d'avoir pu fêter son anniversaire alors que diggory n'en aurait plus jamais l'occasion le minait profondément. Il rouvrit la fenêtre pour les oiseaux après qu'ils se soient reposés ; Errol resta avec Hedwige ; et le garçon de désormais quinze ans retourna dans son lit, pas nécessairement plus enclin à dormir que lorsqu'il s'en était levé.


Un tambourinement contre sa porte le tira du sommeil le lendemain matin. Vernon aboyait pour q'uil descende préparer le petit déjeuner ; il ne le lâchait pas même pour son anniversaire...! harry soupira et s'habilla puis descendit. Il attendit la fin du repas pour leur dire que les Weasley allaient venir le chercher, et qu'il ne savait pas quand encore. Comme il s'y attendait, son oncle aboya au sujet de l'impolitesse de ces gens là de décider des choses sans lui demander son avis et de ne pas préciser de date en particulier et tout ce qu'il put trouver d'autre (et il y en avait beaucoup étant donné leur bouleversante apparition dans son salon 'année dernière). Il ne s'opposa cependant pas au fait d'être débarrassé de son neveux un mois plus tôt et décréta que cette fois-ci, ils laisseraient Harry sur le pas de la porte pour que les autres le récupèrent sans pénétrer leur précieuse demeure. Harry se demanda si, ne sachant pas quand i ldevait partir, les Dursley le laisserait dehors à partir d'aujourd'hui et jusqu'à ce qu'il se fasse embarquer, mais il réalisa que ceci susciterait des interrogations dans le voisinage, ce que Vernon et Pétunia n'étaient pas prêt à risquer.

Cependant, ni Harry ni les Dursley eurent à s'imposer de plus amples réflexions car le jeune sorcier reçu un hibou le soir mêm lui précisant qu'Arthur et Ron viendraient les récupérer (harry et les deux hiboux) dès le ledemain soir avec un portoloin trafiqué. Harry se demanda seulement si cela marchait avec les hiboux puis en revînt à ses regrets et remords concernant Cédric... il en avait presque envie de jouer les dobby en se frappant tout seul mais cela aurait démontré une grave atteinte de son psychisme et suffisament de monde déjà le prenait pour un fou pour pas qu'il ne leur donne raison en plus ou simplement une raison de plus.

Il passa la journée du lendemain à préparer ses affaires, se demandant si le portoloin arriverait à traîner tout ce bazar avec les hiboux et alla attendre patiemment sur le perron comme l'avait exigé son oncle et tuteur. Ettonnament, Ron et son père arrivèrent très discrètement, à pieds au coin de la rue ; Mr Weasley avait fait de net progrès dans le dommaine vestimentaire...


« Tu as bien mauvaise mine Hary! le salua Arthur.


-Salut Harry! Tes moldus t'ont mis à a porte?


-Plus ou moins... répondit le brun avec un sourire contrit. Il demanda à Mr Weasley d'où ils partiraient puis lorsqu'il sut qu'ils utiliseraient le portoloin dans un square vide, il remonta chercher sa grande malle et la cage où s'entassaient deux hiboux et sa chouette. L'oncle Vernon répondit d'une sorte de grognement aux salutations de Harry et celui-ic partit avec Arthur et Ron. Ils marchèrent jusqu'au square sans trop parler, pui en arrivant au Tarrier, valise et hiboux compris; Harry eût droit à l'étreinte très maternelle de Molly Weasley. C'est dans ses bras seulement qu'il se sentit en sécurité, à l'abris même des reproches qu'il aurait pu se faireà lui même à propos de Diggory et Voldemort. Après un bon diner et de chaleuresue discussions, Harry et ron montèrent se oucher dans la chambre toujours aussi orange de ce dernier.


« Alors, soupira ce dernier, avec tout ça j'ai pas pu te demander si ça allait sérieusement... mon père à raison, t'as une sale tête...


-Ce n'est pas exactement ce qu'il a dit... lui fit remarquer Harry.


-Ouais... enfin bon, quand même.. t'es tellement pâle que si on te décolorait les cheveux on pourrait te prendre pour un de ces salauds de Malfoy...


-Hm, voilà qui va m'aider à me sentir mieux! soupira Harry en retirant ses lunettes.


-Rhô... tu vois très bien ce que je veux dire! Alors réponds moi, ça va?


-Moui... je vais aussi bien que je puisse aller je pense.


-Très bien, alors bonne nuit!


Harry sourit, au moins Ron n'avait pas changé d'un pouce, il était toujour aussi... Ronesque. Durant une semaine envirron, Harry se sentit dans ue bulle , comme si rien ne pouvait les atteindre.. il aurait voulu conserver cette sensation le plus longtemps posible... Molly lui avait demandé s 'il voulait attendre que Sirius et hermione soit là pour fêter son anniversaire et harry avait immédiatement répondu que oui. Hermione était arrivée une semaine encore après, mais le passage de Sirius avait été un peu plus difficil.

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